Je commence ici un RP avec oeil-de-nuit qui va nous rejoindre.
Nos perso sont tirés de l'assassin royal de Robin Hobb.
Pour comprendre les perso, lisez mon profil travian
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Fitz :
La matinée s'annoncait douce, la brume matinale se dissipait sur la vallée.
Fitz, étirait ses muscles endoloris et posa le regard sur son loup. Oeil
de nuit se lèchait la pâte endolori par un un piquant de porc epic. Il
ne pouvait s'empêcher de les attaquer malgré les risques ! Fitz, sorti
de son sac un peu de baume et s'avança vers son loup. Oeil de nuit
refusa l'application du baume :"changeur, garde le pour des blessures
plus profondes, je m'occupe seul de celle là".
Fitz admirait souvent la sagesse de son loup et lui repondit par un sourire.
Il resta assit, près de son loup, en savourant l'instant présent.
Les terres de travian étaient bien plus hospitalière que celles des 6
duchés, il pouvait donc baisser la garde quelques instants et vivre avec
intensité sa relation avec son ami.
Oeil-de-nuit :
Malgré tout je gardais un lien avec le loup en moi, mon lien avec ce
garçon solitaire qui su reconnaitre son ame dans la pitoyable chose
blotie dans une cage étroite.
Il éveilla mon âme, donna une autre dimension au monde qui m'entourai et
qui n'était jusque là qu'obscurité. Je me souviens encore de nos lutte
respective pour fuir ce qui était, notre déni d'une réalité qui nous
dépassait l'un et l'autre.
Etre humain me dépasse souvent, les gens me déconcertent comme s'ils
avaient deux estomacs à satisfaire un dans le ventre et un autre dans la
tete. Ils se nourrissent d'idée de sentiments. Quand le soir le doute
m'assayent je sens les doigts de changeur plonger dans la fourrure
tendre de mon ventre. Le contact de sa chaire contre la mienne est la
confirmation de notre pacte de confiance de foi l'un en l'autre.
Mon combat peut continuer.
Fitz :
J'enviais mon loup, capable sentir la moindre proie, d'entendre la moindre brindille cédant sous le pied d'un ennemi.
Ce matin, les sens en éveil, il me fit partager grâce à notre lien ce
qu'il percevait. Des odeurs de terres humides, de bois fraichement
coupés se mêlaient à celle d'un lapin qui passait par là. Mon loup,
l'œil vif, se dressa et nous partîmes donc à la chasse.
La bête fut prise rapidement. Je fit un feu et mis a cuire ma part de
viande. je vit la désapprobation dans les yeux de mon loup qui ne
comprenait pas que les humains puissent aimer la viande cuite.
Mais, je m'efforçais a garder quelques coutumes du monde des humains
pour ne pas replonger dans le monde animal et perdre à jamais mon
humanité.
Par respect pour oeil de nuit, j'atténuais notre lien lorsque je
m'abandonnais aux coutumes humaines. Mon loup n'avait pas a supporter
cela.
Il s'écarta pour manger sa part. Il respectait mon choix, bien qu'il ne le comprenait pas.
Nos perso sont tirés de l'assassin royal de Robin Hobb.
Pour comprendre les perso, lisez mon profil travian
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Fitz :
La matinée s'annoncait douce, la brume matinale se dissipait sur la vallée.
Fitz, étirait ses muscles endoloris et posa le regard sur son loup. Oeil
de nuit se lèchait la pâte endolori par un un piquant de porc epic. Il
ne pouvait s'empêcher de les attaquer malgré les risques ! Fitz, sorti
de son sac un peu de baume et s'avança vers son loup. Oeil de nuit
refusa l'application du baume :"changeur, garde le pour des blessures
plus profondes, je m'occupe seul de celle là".
Fitz admirait souvent la sagesse de son loup et lui repondit par un sourire.
Il resta assit, près de son loup, en savourant l'instant présent.
Les terres de travian étaient bien plus hospitalière que celles des 6
duchés, il pouvait donc baisser la garde quelques instants et vivre avec
intensité sa relation avec son ami.
Oeil-de-nuit :
Malgré tout je gardais un lien avec le loup en moi, mon lien avec ce
garçon solitaire qui su reconnaitre son ame dans la pitoyable chose
blotie dans une cage étroite.
Il éveilla mon âme, donna une autre dimension au monde qui m'entourai et
qui n'était jusque là qu'obscurité. Je me souviens encore de nos lutte
respective pour fuir ce qui était, notre déni d'une réalité qui nous
dépassait l'un et l'autre.
Etre humain me dépasse souvent, les gens me déconcertent comme s'ils
avaient deux estomacs à satisfaire un dans le ventre et un autre dans la
tete. Ils se nourrissent d'idée de sentiments. Quand le soir le doute
m'assayent je sens les doigts de changeur plonger dans la fourrure
tendre de mon ventre. Le contact de sa chaire contre la mienne est la
confirmation de notre pacte de confiance de foi l'un en l'autre.
Mon combat peut continuer.
Fitz :
J'enviais mon loup, capable sentir la moindre proie, d'entendre la moindre brindille cédant sous le pied d'un ennemi.
Ce matin, les sens en éveil, il me fit partager grâce à notre lien ce
qu'il percevait. Des odeurs de terres humides, de bois fraichement
coupés se mêlaient à celle d'un lapin qui passait par là. Mon loup,
l'œil vif, se dressa et nous partîmes donc à la chasse.
La bête fut prise rapidement. Je fit un feu et mis a cuire ma part de
viande. je vit la désapprobation dans les yeux de mon loup qui ne
comprenait pas que les humains puissent aimer la viande cuite.
Mais, je m'efforçais a garder quelques coutumes du monde des humains
pour ne pas replonger dans le monde animal et perdre à jamais mon
humanité.
Par respect pour oeil de nuit, j'atténuais notre lien lorsque je
m'abandonnais aux coutumes humaines. Mon loup n'avait pas a supporter
cela.
Il s'écarta pour manger sa part. Il respectait mon choix, bien qu'il ne le comprenait pas.